Face à la crise, Jean-François Copé souligne la vérité, le courage et l'aptitude au commandement de Nicolas Sarkozy

Publié le par ump-ormesson94

« Nous entrons à peine dans un monde nouveau où les repères changent du tout au tout ».

En évoquant la succession de crises d’une  gravité exceptionnelle qui frappent la France, l’Europe et le monde entier depuis 2008, Nicolas Sarkozy a tenu, jeudi soir, à montrer combien les dirigeants européens, sous son impulsion et celle d’ Angela Merkel, ont agi et obtenu un accord pour sauver la Grèce et protéger les Européens .

« La parole du président de la République était attendue pour expliquer, rassurer et montrer le chemin », confie Jean-François Copé qui, au nom de toute la famille UMP, a apprécié la « vérité » de l’intervention du président de la République, son « courage », ainsi que son « aptitude au commandement ».

« Nicolas Sarkozy n’a rien caché de la réalité de la crise et de l’exigence qu’il avait de prendre des décisions fortes, concertées avec les autres pays européens pour sortir la zone euro de la crise avec les répercussions qu’elle pouvait avoir sur le monde entier. La vérité, poursuit Jean-François Copé, c’est ce qu’attendent les Français dans ces périodes difficiles, de dire les choses telles qu’elle sont, sans langue de bois. »

Jean-François Copé  a évoqué le courage de l’action et de l’intervention de Nicolas Sarkozy. « Il n’a occulté aucune difficulté, aucun tabou. Il a dit les choses telles qu’elles sont et non le sentiment d’un rêve ».  Allusion au « contraste » avec la primaire socialiste et ses « successions de promesses coûteuses non financées, ces concepts d’un autre temps, ce sentiment permanent d’esquive et de renoncement excessif pour ne pas assumer les décisions qui s’imposent ».

Parmi elles,  la règle d’or que le PS refuse, privilégiant le contexte pré-électoral au grave contexte économique. Jean-François Copé rappelle à chacun, majorité et opposition, sa mission, son « rôle de devoir » dans la tempête que nous traversons. « J’attache de l’importance à ce que les socialistes revoient leur position sur la règle d’or. Ne pas le faire est une  irresponsabilité caractérisée », juge-t-il.

Enfin, Jean-François Copé, souligne l’ « exceptionnelle aptitude au commandement » de Nicolas Sarkozy qui a « pleinement conscience de ses responsabilités » et qui, devant la gravité de la situation, les enjeux,  « ne ré enchante pas le rêve mais éclaire le chemin des Français ainsi que la raison profonde de son action et de sa mission ».

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